Qui n’a jamais… non, formulons plutôt les choses ainsi : Qui a la chance de n’avoir jamais pensé « Ah ! Si j’avais un peu plus de temps [+ allocution de votre choix] » ?
Si vous êtes concernés par une possible affectation de « qui » à votre profil, alors vous êtes prié de me laisser en commentaire votre boulot, salaire, nationalité, comment vous avez fait aussi accessoirement… histoire que je vous rejoigne !
Bon, introduction plutôt houleuse, hasardeuse, tout ce qu’on aura le courage de trouver comme synonymes à cette heure tardive de notre chaleureux et valeureux (oui, il revient toutes les semaines, malgré ce qu’on lui fait subir !) week-end, qui une fois de plus touche à sa fin sans que… la Troll-Factory n’ait reçu de billet intéressant :-/
Eh oui, car ce billet est consacré à une petite excuse au possible lectorat qui passerait (on ne sait jamais) par ici quelques-fois : je manque de temps en ce moment pour rendre la Troll-Factory un peu vivante. Mais je promet, après m’être repenti, de me faire pardonner
Je prévois notamment de partager progressivement la plus grande partie possible de mes découvertes techniques en matière de webmastering, rédaction web, geekeries, serveur linux etc. … Notamment tous ces petits bouts de codes qu’on trouve partout qui trainent sur les blogs, mais qu’on est bien content de trouver quand on galère sur le même sujet que le bloggueur, sauf que le bloggueur, lui, il a trouvé la solution ! (non pas qu’on soit de tendance fégnante, mais si on peut économiser du temps… ! (tiens, ça revient encore, cette notion !) ).
En tout cas si le temps c’est de l’argent, heureusement que le manque de temps n’est pas encore directement relié au manque d’argent de manière implicative, sinon je serai bon pour me pointer aux restos’ du coeur cette hiver, ou à la soupe populaire, pour un peu que ça existe encore pas trop loin d’ici
Ce petit billet sur le temps qui manque encore est toujours est en fait une petite réponse cachée à une remarque forte intéressante de BlogExperience (lue il y a déjà un certain temps, mais fallait que ça fasse le tour de mon cerveau de Troll ), et je dois avouer que cela m’a un peu inspiré l’envie de parler de ce temps, qui coule, sans arrêt, de manière tellement sereine et à la fois dramatiquement constante. Temps qui pourtant, vous le savez j’espère tous (sinon, dépêchez-vous de le découvrir) passe inévitablement plus vite auprès de certaines personnes…
(et passe aussi beaucoup moins vite dans un certain nombre de distorsions temporelles : dans la queue à Casino, dans la salle d’attente chez le dentiste, sur les quais de la sncf et sous les arrêts de tram… )
C’est très amusant d’avoir lu ce billet comme ça par hasard et de découvrir qu’on y est cité ! Merci. J’ai signalé ton billet en commentaire du mien, du coup.
Je ressent parfaitement ce que tu dis à propos du manque de temps, et cette difficulté que l’on peut avoir à concilier blogging et « vraie vie » parfois, j’ai même fait un billet là-dessus : http://monblogessai.wordpress.com/2009/12/08/les-stats-ou-la-vie/
En même temps (sic), le blogging que nous pratiquons doit rester un plaisir. Il n’est pas question d’avoir à se faire pardonner les baisses de rythme. J’émets l’hypothèque que c’est plus à toi-même que tu t’adresses, en disant cela ?
Allez, courage ! Un blog se construit dans le temps, sois magnanime avec toi-même. Et commente le blog des autres, cela te fera connaître.
Il est parfois assez difficile de savoir à qui l’on s’adressait, si cela peut paraître clair voire limpide à l’esprit lorsque l’on rédige, après coup, il peut tenir de l’exploit de savoir répondre à la question.
Si je suis à peu près conscient des gens à qui je m’adresse lorsque je publie un article sur Ubuntu sur un portail high-tech ou lorsque je parle des nouvelles technologies Microsoft, difficile de savoir à qui on s’adresse lorsqu’on décide de partager un petit moment de vie, de pensée, avec une infinité aussi petite que grande grâce à Internet.
Il est sûr qu’une activité telle doit rester un plaisir, tout bonnement et simplement parce-qu’il en va de la qualité de l’écriture et de la perennité du projet à travers l’indispensable notion de motivation, qui, chez l’humain, représente une partie non négligeable de son efficacité.
D’un autre côté, il est difficile d’oublier que le plaisir vient avec la reconnaissance du projet, plus le projet est reconnu, plus la communauté est active, plus le partage est grand et plus l’intérêt augmente et la motivation avec.
On revient ainsi, comme souvent avec l’être humain, à des boucles, des cercles vicieux. Des boucles dont il faut réussir à sortir au début, et à ne pas suivre trop loin sur la fin
Merci pour ton commentaire… sur ton billet
. Et réflexion sympathique « les stats ou la vie » (j’aime la formulation
)
[…] qui sont dans cette liste. Mais aussi à Gee Mee, Valentin, Lavande, Frichtre, Otir, Mlle Jones, le Troll, pour ceux qui n’y apparaissent pas, mais que je retrouve souvent dans mes […]